Derniers commentaires et analyses
par Khaled Abu Toameh • 24 août 2025
Chaque Palestinien sait que le Hamas est le plus grand voleur de nourriture et d'aide humanitaire de Gaza. C'est pourquoi la communauté internationale doit soutenir Israël qui cherche à empêcher le Hamas de monopoliser et de détourner les chargements des camions qui arrivent à Gaza. Photo : des terroristes du Hamas à bord d'une camionnette « escortent » des camions transportant l'aide humanitaire qu'ils comptent piller, près du poste-frontière de Rafah avec l'Égypte, dans le sud de la bande de Gaza, le 10 décembre 2023. (Photo de Mohammed Abed/AFP via Getty Images)
Le groupe terroriste palestinien Hamas, soutenu par l'Iran, a reconstitué sa « Force exécutive ». Cette troupe de 5 000 hommes a pour mission de contrôler l'aide humanitaire et de « faire régner la loi et l'ordre » à Gaza. Créée en 2006, les miliciens de la Force Exécutive ont été déployés dans toute la bande de Gaza pour prévenir le « vol » de nourriture et « dissuader les voleurs et les voyous qui sèment le désordre et l'anarchie ». Libre à eux de « prendre toutes les mesures nécessaires, y compris l'usage de la force », pour rétablir la sécurité et la stabilité dans la bande côtière, selon des sources palestiniennes. En 2007, la « Force exécutive » a joué un rôle central dans le coup d'État du Hamas contre l'Autorité palestinienne (AP). Elle a tué des centaines de Palestiniens et blessé des milliers d'autres. Après le coup d'État, le président de l'AP, Mahmoud Abbas, a déclaré la Force exécutive « criminelle et illégale ».
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par JNS • 16 août 2025
Photo : L'aide alimentaire au point de passage de Kerem Shalom, côté gazaoui, n'a pas été collectée par les organisations humanitaires internationales et donc pas été distribuée, juillet 2025. (Photo de Tsahal)
Des dizaines de tonnes de marchandises - aide alimentaire pour l'essentiel -, se sont accumulées ces derniers mois aux points de passage d'Israël vers la bande de Gaza. Elles attendent toujours d'être collectée pour être distribuées par les organisations d'aide internationales, a déclaré le 25 juillet 2025, le Coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires (COGAT) - une unité du ministère israélien de la Défense -. Cette déclaration a été faite en réponse aux affirmations selon lesquelles Jérusalem bloquait l'entrée de la nourriture dans Gaza. Le COGAT a publié un nombre impressionnant d'images de camions stationnés par centaines côté Gaza au point de passage de Kerem Shalom, à côté d'un nombre tout aussi impressionnant de cartons empilés sur des palettes.
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par Drieu Godefridi • 1er août 2025
Le 24 juillet 2025, la France a annoncé qu'en septembre elle reconnaîtrait l'existence d'un « État palestinien ». Le président Emmanuel Macron a présenté cette décision comme un acte de « justice » et de « paix ». En réalité, cette reconnaissance relève de la fiction géopolitique. Une fois de plus, la France se retrouve du mauvais côté de l'histoire. Ni du côté des droits de l'homme, ni du côté de la paix. Mais du côté du mensonge, du déshonneur et de la collaboration avec les ennemis de l'humanité. Photo : Macron rencontre le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, le 25 septembre 2024. (Photo de Ludovic Marin/AFP via Getty Images)
Le 24 juillet 2025, la France a annoncé qu'en septembre elle reconnaîtrait l'existence d'un « État palestinien ». Le président Emmanuel Macron a présenté cette décision comme un acte de « justice » et de « paix ». En réalité, cette reconnaissance constitue une fiction géopolitique, contraire au droit international, en contradiction flagrante avec la réalité du terrain et profondément préjudiciable au plan moral. 1. Quel État ? Le droit international — et notamment l'article premier de la Convention de Montevideo de 1933 — précise qu'un État doit être doté : d'une population permanente, d'un territoire défini, d'un gouvernement effectif et de la capacité d'entretenir des relations avec d'autres États. Aucune des deux entités politiques palestiniennes ne remplit ces critères.
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par Majid Rafizadeh • 27 juillet 2025
L'influence de l'Iran va au-delà des assassinats et des cellules terroristes. Le régime est désormais un acteur clé du plus important conflit européen depuis la Seconde Guerre mondiale : la guerre russo-ukrainienne. Photo : Des habitants inspectent un immeuble d'habitation de Kharkiv (Ukraine), endommagé par des drones suicides « Shahed » fournis par l'Iran et lancés par les forces russes le 31 décembre 2023. (Photo de Sergey Bobok/AFP via Getty Images)
La diplomatie de l'Union européenne est restée coite et spectatrice pendant que les États-Unis et Israël affrontaient seuls la République islamique d'Iran. Au moment où les dirigeants américains et israéliens ont pris des risques réels et tangibles pour contrer la menace iranienne et celle de son réseau terroriste mondial, les dirigeants européens ont opté pour l'apaisement, le report, la lâcheté et la cupidité. Au lieu de remercier Israël qui venait à leur secours, ils vertement critiqué le gouvernement de Jérusalem. Comme à son habitude, une grande partie de l'Europe fanfaronne, multiplie les déclarations, organise des réunions, mais n'entreprend rien de concret. Le schéma est désormais bien établi. L'UE invoque les droits de l'homme, brandit les valeurs démocratiques, pousse en avant les règles de sécurité internationale, mais se garde ostensiblement d'agir dès s'agit de l'Iran.
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par Amir Taheri • 10 juillet 2025
Sous quelque angle militaire que ce soit, Israël est sorti grand vainqueur de cette guerre de 12 jours interrompue par Trump. Une fois de plus, Israël se retrouve avec des jetons sans valeur échangeable. L'Iran le présente comme le perdant et, ô surprise, certains soi-disant experts aux États-Unis et en Europe se rangent à ce point de vue. Photo : le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, proclame la victoire sur IRINN TV le 26 juin 2025 : « Je tiens à féliciter le peuple. Je voudrais d'abord le féliciter pour sa victoire sur le faux régime sioniste. Malgré toutes ses clameurs et ses prétentions, le régime sioniste a été quasiment anéanti et écrasé sous les coups de la République islamique. » (Source de l'image : MEMRI)
L'adage veut que l'Histoire soit écrite par le vainqueur. En effet, soit le vaincu a été tué, soit ses blessures l'empêchent d'écrire ou de se lier d'amitié avec le vainqueur. Mais l'adage exige aussi qu'une guerre se termine avec un incontestable vainqueur. Ce qui pose un autre problème : quel vainqueur peut s'auto-proclamer vainqueur et ceindre son front de lauriers si l'adversaire ne reconnaît pas sa défaite ? Tel est le dilemme auquel les Israéliens sont confrontés alors qu'ils se sont battus pour que leur pays ne soit pas rayé de la carte. Cette fois encore, les États-Unis ont placé une distance incommensurable entre la coupe du vainqueur et les lèvres israéliennes.
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par Robert Williams • 30 juin 2025
L'OMS, organisation totalement corrompue et déshonorée, s'est mise au service de Bill Gates, de l'industrie pharmaceutique, et de la Chine communiste. Aujourd'hui, l'OMS est proche de réaliser son vœu le plus cher : un pouvoir et un contrôle illimités. Photo : Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, rend visite au président chinois Xi Jinping à Pékin, le 28 janvier 2020. (Photo de Naohiko Hatta/AFP via Getty Images)
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est très près aujourd'hui de voir son vœu le plus cher se réaliser : un pouvoir et un contrôle illimités. Les États-membres ont jusqu'au 19 juillet seulement pour se retirer du Règlement sanitaire international. Il reste moins de deux mois pour interpellez vos députés et les inciter à se dresser CONTRE ce règlement. Jusqu'à présent, aucun pays n'a opté pour le retrait, et faute de couverture médiatique, la plupart des populations ignorent jusqu'à l'existence même du problème.
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par Daniel Greenfield • 22 mai 2025
Les tarifs de l'électricité en Iran sont parmi les plus bas au monde. Un pays où l'électricité est infiniment moins chère qu'aux États-Unis ne peut pas chercher à réduire ses coûts de production. L'Iran ne porte aucun intérêt aux applications pacifiques de l'énergie nucléaire ; seules l'intéressent les potentialités militaires du nucléaire. L'Iran préfère perdre mille milliards de dollars et entrer en guerre que renoncer à son programme nucléaire. Photo : Le réacteur de la centrale nucléaire russe de Bushehr, dans le sud de l'Iran. (Photo par Atta Kenare/AFP via Getty Images)
L'Iran produit une électricité qui est parmi les moins chères du monde. Aux États-Unis, le coût moyen du kilowattheure est de 0,181 dollar. En Iran, il est de 0,004 $/kWh. Un pays où l'électricité est bien moins chère qu'en Amérique ne saurait avoir pour objectif de réduire ses coûts de production de l'énergie électrique. L'Iran fait partie du club des pays riches en pétrole (Libye, Koweït, Irak, Oman, Qatar ...) où les prix de l'électricité sont parmi les plus bas au monde. Les pays riches en énergies fossiles n'ont pas besoin du nucléaire comme l'Allemagne ou la France, qui dépendent des importations. L'Arabie saoudite qui tarife son électricité à 0,053 $/kWh, n'exige pas d'avoir accès à un programme nucléaire pour réduire ses coûts énergétiques. Les Émirats arabes unis non plus. Les Saoudiens et les Émiratis ne s'intéressent à l'industrie nucléaire « civile » qu'en raison du programme nucléaire iranien.
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par Nils A. Haug • 9 mai 2025
Photo : Des soldats inspectent un véhicule blindé de transport de troupes endommagé pris aux djihadistes de Boko Haram, exposé à Goniri, dans l'État de Yobe, dans le nord-est du Nigeria, le 3 juillet 2019. (Photo by Audu Marte/AFP via Getty Images)
L'épicentre du terrorisme mondial et des morts violentes n'est plus le Moyen-Orient. Le « Sahel en Afrique, se classe désormais en tête de la liste des « foyers du terrorisme mondial », avec « plus de la moitié de tous les décès liés au terrorisme » dans le monde, si l'on en croit le respecté Global Terrorism Index. Le Sahel subsaharien est une zone largement méconnue. Cette bande de terre plate, large d'environ 960 kilomètres, est située entre les savanes du sud Soudan et le désert du Sahara au nord. Selon le Royal United Services Institute, le plus ancien centre de recherche sur la défense et la sécurité au monde, basé à Londres, le Sahel a connu, au cours des dix dernières années, une « augmentation significative de la violence djihadiste. Des milices ont profité de frontières poreuses, d'États chancelants et de conflits locaux pour étendre leur portée opérationnelle ».
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par Robert Williams • 14 avril 2025
Depuis des années, l'ONU et le Forum économique mondial (FEM) dirigé par Klaus Schwab, font la promotion de la surveillance mondiale dans ce qu'on appelle les « villes intelligentes ». La ville intelligente telle qu'elle existe en Chine trace et contrôle les citadins afin d'extraire leurs données pour la mise en place d'un système de crédits sociaux. Schwab semble être un grand admirateur de l'État communiste chinois, qu'il a salué en 2022 comme un « modèle ». Photo : Schwab serre la main du président chinois Xi Jinping au Forum économique mondial, le 17 janvier 2017 à Davos, en Suisse. (Photo de Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images)
Il fut un temps où l'Occident, bien avant les confinements liés au Covid-19, se piquait de liberté, de droit à la vie privée et s'inquiétait de la surveillance et de la collecte de données sur ses citoyens. L'État policier chinois apparaissait, du moins publiquement, comme une abomination pour les droits humains. Il n'est pas exclu qu'aujourd'hui, la Chine soit subrepticement devenue un modèle. Depuis des années, au nom de la protection de l'environnement, au nom de l'efficacité énergétique, de la sécurité et du confort, les Nations Unies et le Forum économique mondial (FEM), dirigé par Klaus Schwab, promeuvent la surveillance mondiale sous forme de « villes intelligentes ». La Chine comptait déjà plus de 500 villes intelligentes en 2018.
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par Bassam Tawil • 8 avril 2025
Les manifestations anti Hamas ne s'expliquent que d'une seule façon : le Hamas est en train de perdre la guerre. Les Occidentaux doivent cesser de projeter leurs valeurs et leurs aspirations sur les sociétés islamistes. Les manifestations dans la bande de Gaza ne marquent pas un tournant vers la paix. Elles sont plutôt le symptôme du nouvel échec des Palestiniens à atteindre leur objectif : assassiner les Juifs et éliminer Israël. Photo : Manifestation anti-Hamas à Beit Lahia, dans le nord de la bande de Gaza, le 26 mars 2025. (Photo : AFP via Getty Images)
Les récentes manifestations anti-Hamas dans la bande de Gaza sont parfois perçues comme une évolution positive et encourageante. Certains analystes politiques occidentaux et arabes s'enthousiasment pour les foules de Gaza, mais ils devraient comprendre qu'elles sont probablement un spectacle monté par le Hamas – un mouvement soutenu par l'Iran - pour abuser le monde et faire croire à un soulèvement populaire contre le groupe terroriste. Dans les années qui ont précédé l'attaque terroriste du 7 octobre 2023, ce même Hamas a multiplié les signaux pour faire croire qu'il n'était pas intéressé par une nouvelle vague de combats. Il a ensuite brutalement assassiné et torturé 1 200 Israéliens et en a enlevé 251. Le Hamas a pour tactique de dissimuler ses terroristes parmi les civils. Des miliciens du Hamas auraient ainsi été aperçus en tête de certaines manifestations à Gaza
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par Majid Rafizadeh • 30 mars 2025
Qu'on le veuille ou non, la nature du régime iranien est indissociable de ses fondements idéologiques. La République islamique d'Iran n'est pas un État ordinaire, ni même une dictature conventionnelle. C'est une entité idéologique structurée par son opposition aux États-Unis, à Israël et à l'Occident. Photo : Le « Guide suprême » iranien Ali Khamenei rencontre le président Massoud Pezeshkian à Téhéran, le 27 août 2024. (Source : khamenei.ir)
Cela fait quatre décennies, que les hommes politiques occidentaux négocient avec le régime islamiste iranien dans l'espoir que son attitude envers l'Occident change. Téhéran s'est vu offrir à jets continus des ouvertures diplomatiques, des incitations économiques et des concessions pour qu'enfin une politique modérée voit le jour. En vain ! Et cela ne changera jamais. Qu'on le veuille ou non, la nature du régime iranien est indissociable de ses fondements idéologiques. La République islamique d'Iran n'est pas un État ordinaire, ni même une dictature conventionnelle. C'est une entité structurée par son opposition idéologique aux États-Unis, à Israël et à l'Occident.
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par Drieu Godefridi • 24 mars 2025
Bruxelles est entrée dans une ère de Far West. Chacun ne compte que sur lui-même pour sa sécurité et a renoncé à s'en remettre aux « autorités » défaillantes. Photo : la police s'efforce de dégager une rue au milieu de violentes émeutes, le 27 novembre 2022, à Bruxelles, en Belgique. (Photo de Nicolas Maeterlinck/Belga/AFP via Getty Images)
En 2016, le président Donald Trump avait comparé Bruxelles (Belgique) à un « enfer ». Ce parallèle avait suscité un certain émoi, sauf au sein d'une certaine « élite » de l'Union européenne qui a réagi avec ce mélange de mépris, d'ignorance et de déni de la réalité qui la caractérise. Trump avait tenu ces propos dans le cadre de discussions sur l'immigration et la sécurité, estimant que la situation à Bruxelles avait empiré au fil des ans, principalement en raison d'une submersion migratoire incontrôlée et sans règle. Déjà, à l'époque, les faits lui avaient donné raison. En 2025, la libanisation de Bruxelles apporte la preuve que ce jugement était visionnaire. Explosion de la criminalité
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par Uzay Bulut • 15 mars 2025
La persécution des chrétiens en Syrie s'est intensifiée depuis qu'Ahmed Al-Sharaa, à la tête du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham, affilié à Al-Qaïda, a renversé le régime Assad en décembre 2024. Al-Sharaa porte depuis peu le costume-cravate et se présente à l'Occident comme un « modéré ». Mais dans les manuels scolaires, son gouvernement a remplacé le mot « loi » par « charia » et l'enseignement islamique sert de critère pour recruter la nouvelle armée du pays. Photo : Al-Sharaa serre la main du président turc Recep Tayyip Erdogan lors d'une conférence de presse à Ankara, en Turquie, le 4 février 2025. (Photo par Ozan Kose/AFP via Getty Images)
Malheureusement, les persécutions vont croissant dans la « Vallée des chrétiens » en Syrie (Wadi al-Nasara), une région peuplée majoritairement de Syriens d'origine grecque originaires d'Antioche. Après la prise de Damas et le renversement du régime syrien d'Assad en décembre 2024, les forces d'Hayat Tahrir al-Sham (HTS), un mouvement terroriste affilié à Al-Qaïda, ont fait pression pour que les habitants de la Vallée des Chrétiens rendent leurs armes. Ils ont promis qu'aucune violence ne serait exercée contre les civil, mais les 500 000 chrétiens du pays souffrent aujourd'hui de persécutions ininterrompues et de prises d'otages.
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par Gordon G. Chang • 3 mars 2025
Les chercheurs du tristement célèbre Institut de virologie de Wuhan étudient actuellement le virus Ebola, sans doute pour pouvoir l'utiliser comme arme biologique. Les Américains et autres Occidentaux auront beau essayer, ils n'auront jamais de vraies relations amicales avec la Chine tant que celle-ci restera sous le règne du Parti communiste. Il ne peut y avoir qu'un seul survivant, soit la République populaire de Chine, soit l'Amérique. Photo : un laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan. (Photo de Johannes Eisele/AFP via Getty Images)
Selon certaines informations, Donald Trump souhaite se rendre à Pékin au cours des cent premiers jours de sa présidence et conclure un accord avec la Chine. Malheureusement, un arrangement durable avec le régime chinois n'est pas possible. Pourquoi ? Il est à noter que le Parti communiste chinois (PCC) semble déterminé à tuer tous les habitants des États-Unis. Il y a un quart de siècle, le général Chi Haotian, ministre chinois de la Défense et vice-président de la commission militaire centrale chinoise, aurait prononcé un discours secret prônant l'extermination des Américains. « Il est en effet brutal de tuer un ou deux cent millions d'Américains », aurait-il déclaré. « Mais c'est la seule voie qui garantira l'établissement du 'siècle chinois' – le siècle au cours duquel le Parti communiste dirigera le monde. »
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Vider Gaza ?
Est-ce la chose à faire ? Cela peut-il fonctionner ? Oui.
par Daniel Greenfield • 24 février 2025
Ceux qui jugent injuste et irréaliste d'expulser 2 millions de Gazaouis musulmans trouvent moralement juste et faisable de déplacer près d'un demi-million de juifs. Photo : une voiture chargée de matelas traverse Gaza le 1er février 2025. (Photo de Moiz Salhi/Middle East Images/AFP via Getty Images)
La proposition du président Donald Trump de déplacer les colons arabes musulmans qui vivent à Gaza, a soulevé une vague d'objections furieuses dans la classe politique, chez les activistes et dans les médias. Grosso modo, les objections sont de l'ordre du moral et de la faisabilité. Les « moralistes » affirment qu'il est « mal » de déplacer la population actuelle de Gaza, et les « pratiques » jugent impossible d'y parvenir. Aucune de ces deux objections ne tient. La population juive de Gaza a été expulsée à deux reprises, une fois après l'invasion et la conquête de Gaza par l'Egypte pendant la guerre d'indépendance de 1948-49, et une seconde fois après le « désengagement » de 2005 qui a éliminé de force et expulsé les familles de 21 communautés juives. Non seulement les hommes politiques et les médias n'ont rien objecté au déplacement des communautés juives de Gaza, mais leur éviction a été saluée comme un pas vers la paix dans la région.
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