En 1930, date du dernier recensement ou les citoyens ont été invités à exprimer leurs croyances religieuses, la Suède comptait 15 musulmans. A partir de 1975, la Suède a commencé de rompre avec son homogénéité ethnique. Elle est devenue un espace multiculturel et multi-religieux ou le nombre de musulmans a explosé. Aujourd'hui, un million de sunnites, chiites et Ahmadiyya en provenance des quatre coins du monde, couvrent progressivement le territoire suédois de mosquées.
Personne en Suède ne semble avoir posé la seule question qui compte pour l'avenir de la Suède : l'islam est-il compatible avec la démocratie ?
L'establishment suédois n'a pas compris que l'islam est plus qu'une religion privée, et qu'il rejette toutes les questions sur l'islam au nom de la liberté de religion qui règne en Suède.
Deux faits montrent que l'islam n'est pas compatible avec la démocratie. Primo, aucun pays dominé par l'islam ne peut être considéré comme une démocratie fondée sur la liberté d'expression et l'égalité en droit de chacun. Certains citent la Malaisie et l'Indonésie - deux pays où la flagellation et divers châtiments corporels punissent les femmes qui dévoilent trop de cheveux ou de peau, mais aussi les personnes qui interrogent l'islam, le critiquent ou le tournent en dérision. D' autres font de la Turquie une « démocratie islamique » - un pays qui régulièrement emprisonne des journalistes, des dissidents politiques et des personnes prises au hasard dont on pense qu'elles ont « offensé » le président Erdogan, « l'islam » ou « la nation ».
Deuxièmement, les musulmans en Europe votent collectivement. En France, 93% des musulmans ont voté pour l'actuel président, François Hollande, en 2012. En Suède, aux élections générales de 2006, le vote des musulmans s'est reporté à 75% sur les sociaux - démocrates ; et les études montrent que le bloc « rouge-vert » accapare 80 à 90% du vote musulman.
Ce n'est pas un secret que la démocratie peut être retournée contre la démocratie - même si cette question cruciale continue de demeurer taboue en Suède. La classe politique, les pouvoirs publics et les journalistes voient l'islam comme une autre religion. Ils paraissent ne pas soupçonner que l'islam est aussi une idéologie politique, un système de justice (charia) et une culture spécifique qui règlemente chaque minute de la vie quotidienne : comment s'habiller ; quels doivent être vos amis ; quel pied faut-il poser en premier sur le seuil de la salle de bains... Heureusement, tous les musulmans n'obéissent pas aveuglément à ces règles, mais cela ne change rien au fait que l'Islam aspire à contrôler tous les aspects de la vie humaine – ce qui est la définition même d'une idéologie totalitaire.
L'establishment ferme les yeux sur les problèmes que pose une population musulmane en croissance rapide, mais le malaise des Suédois ordinaires lui, va en augmentant. Au point que le Premier ministre Stefan Löfven, ne semble plus très bien savoir sur quel pied danser. Il a ainsi récemment déclaré au Financial Times :
« C'est complètement surréaliste : tous les indicateurs sont au vert, mais l'opinion publique est persuadée que le pays va dans la mauvaise direction. Les gens n'ont pas peur seulement de la crise des réfugiés ; ils s'imaginent que tout va dans la mauvaise direction ».
Ce commentaire en dit long sur la déconnexion du premier ministre Löfven avec la réalité des Suédois ordinaires. Les grands médias ne publient rien de la violence qui règne dans et autour les centres d'accueil pour réfugiés. Et, Stefan Löfven ne s'informe apparemment pas auprès des médias alternatifs que lui-même et l'ensemble de la classe dirigeante ont, à l'unisson, classé dans la catégorie des « sites propagateurs de haine ». Il ne soupçonne donc rien de la colère et du désespoir qui frappent un nombre croissant de Suédois. Car chacun commence à comprendre que le Suédois de Suède a commencé de disparaître. Dans de nombreux domaines, un nouvel Etat du Moyen-Orient a pris forme, peuplé de différents groupes d'immigrants (principalement musulmans) occupés à se faire la guerre entre eux, ainsi qu'aux Suédois.
Les personnes âgées sont celles qui souffrent le plus cruellement de cette « Nouvelle Suède ». Les coûts liés à l'immigration ont projeté un quart de million de retraités en dessous du seuil de pauvreté tel qu'il est défini par l'UE. L'Etat-providence a fait le choix de l'immigration et le gouvernement a récemment ajouté une autre enveloppe de 30 milliards de couronnes (environ 3,3 milliards d'euros) au budget de l'immigration. Les 70 milliards de couronnes (8,1 milliards €) que la Suède va consacrer aux demandeurs d'asile en 2016 représentent plus que les budgets de la police et de la justice réunis, plus que les dépenses liées à la défense nationale, et deux fois le montant des aides sociales à l'enfance.
Neuf millions et demi de Suédois dépensent 70 milliards de couronnes (8,1 milliards €) pour que les citoyens d'autres pays s'installent chez eux. En comparaison, les États-Unis et leurs 320 millions d'habitants, n'ont consacré que 1,56 milliard $ aux réfugiés, en 2015. PM Nilsson, éditorialiste du journal économique, Dagens Industri a commenté :
« Pour comprendre la portée de l'augmentation des dépenses, un regard rétrospectif est nécessaire. Lorsque le bloc de droite est arrivé au pouvoir en 2006, le coût de l'immigration était de 8 milliards [de couronnes] par an. En 2014, le budget a atteint 24 milliards. Cet été là, le ministre des Finances Anders Borg a estimé que cette mutation du budget de l'Etat, était la plus spectaculaire à laquelle il ait jamais assisté. L'année suivante, en 2015, les dépenses ont atteint 35 milliards, et en 2016, elles devraient culminer à 70 milliards de couronnes ».
Pendant de nombreuses années, la classe politique a fait croire aux Suédois que les coûts liés à l'immigration représentaient un investissement qui génèrerait un profit le moment venu. Maintenant, différents travaux de recherche indiquent clairement que les immigrés demandeurs d'asile ne réussiront pas à s'insérer professionnellement. Le quotidien Sydsvenskan a révélé en février, que 64% des immigrants de Malmöe sont au chômage alors qu'ils vivent en Suède depuis dix ans. Le gouvernement construit désormais son budget en prévoyant que dans quatre ans, 980.000 personnes vivront des prestations maladie, invalidité, chômage, « des prestations de base » ou de l'aide sociale.
Les Suédois, qui pendant de nombreuses années, ont payé les impôts les plus élevés au monde sans se plaindre, se tournent vers les médias sociaux pour exprimer leur colère de voir leur argent financer les citoyens d'autres pays. Nombreux sont aussi les Suédois qui font le choix d'émigrer vers d'autres pays nordiques, mais aussi en Espagne, au Portugal et en Grande - Bretagne, là où les impôts sur les pensions de retraite sont beaucoup moins élevés.
Mais les problèmes économiques comptent peu à côté du sentiment d'insécurité et de peur qui a saisi les Suédois, notamment ceux qui vivent à proximité des centres d'accueil de demandeurs d'asile. Le gouvernement semble cette fois avoir perçu le danger : Anders Ygeman, ministre de l'Intérieur après avoir décidé de maintenir les contrôles aux frontières, a écrit :
« L'Agence suédoise des risques civils (Myndigheten för samhällsskydd och Beredskab, MSB), estime qu'un flux continu de migrants pose des défis en termes de sécurité, notamment dans le maintien de fonctions publiques importantes. Plusieurs de ces défis continueront à persister au cours des années à venir. Les autorités de police estiment que l'ordre public et la sécurité intérieure sont toujours menacés. Le service de l'immigration préconise le rétablissement des contrôles aux frontières ».
En dépit de ces propos inquiétants, les politiciens ne semblent toujours pas avoir compris que ce risque de « menace grave pour l'ordre public et la sécurité intérieure » est, pour de nombreux Suédois, une réalité déjà très concrète. Les centres d'accueil ouvrent à un rythme alarmant, sans que la question du voisinage soit jamais posée. Le 15 avril, à Spånga-Tensta, en banlieue de Stockholm, les autorités locales ont organisé une réunion d'information publique, pour informer et répondre aux questions des habitants sur la création d'un centre d'accueil pour 600 migrants... à côté d'une école. La réunion, qui a été filmée, a révélé un climat quasi insurrectionnel, certains résidents hurlant qu'ils allaient se battre « jusqu'à leur dernier souffle » pour empêcher le projet de se matérialiser.
Parmi les propos qui ont été tenus :
- « Compte tenu des problèmes posés ailleurs par d'autres centres d'accueil de réfugiés - coups de rasoir, viols, harcèlements... comment comptez-vous assurer notre sécurité ? Cela va créer un sentiment de nous contre eux, cela va créer de la haine ! Pourquoi construire des centres aussi grands, pourquoi pas de petits centres pour dix personnes seulement ? Pourquoi personne n'a-t-il pris l'avis de gens qui vivent ici, dans la région ? Quelle sécurité sommes-nous en droit d'espérer ? »
- « Les centres d'accueil existants posent tous des problèmes, il est irresponsable de votre part de créer une situation qui met en danger la santé de nos enfants face à des gens qui ne se sentent pas bien et ne sont pas dans le bon environnement. Pourquoi ce centre d'accueil est-il mitoyen d'une école ? Quelle est votre analyse de la situation ? »
- « Des Suédois seront-ils autorisés à vivre dans ce centre ? Nos jeunes ne trouvent pas à se loger. Vous les politiciens, vous devriez vous occuper de résoudre la crise du logement pour ceux qui vivent déjà ici, et non pas pour le reste de la population mondiale ».
Quand le président de séance, Awad Hersi, un représentant du Parti Vert d'origine somalienne, a remercié les personnes présentes pour leurs questions sans répondre à aucune d'elles, l'atmosphère à tourné au lynchage. Les gens hurlaient : « Répondez ! Répondez à nos questions ! Nous exigeons des réponses !! »
Tout indique que les Suédois jusqu'à présent dociles, en ont assez de la politique d'immigration irresponsable que tous les gouvernements, socialistes ou conservateurs, mènent depuis de nombreuses années.
Les gens sont furieux de la vague de viols qui place aujourd'hui la Suède en seconde position du classement mondial des violences sexuelles, juste derrière le Lesotho, et qui a forcé la police d'Östersund à lancer un avertissement aux femmes et aux jeunes filles pour qu'elles ne circulent pas seules une fois la nuit tombée. Les gens ont peur : le nombre de meurtres et d'homicides a grimpé en flèche. Sur le seul premier trimestre de cette année, 40 meurtres et 57 tentatives de meurtre ont été enregistrées selon les statistiques de la journaliste Elisabeth Höglund.
Les autorités répètent qu'en Suède, les crimes de sang sont sur le déclin. Elles basent leur affirmation sur les statistiques record de 1989, année où l'immigration de masse battait déjà son plein. Mais une simple comparaison entre les statistiques d'aujourd'hui et celles des années 1950 et 1960, quand la Suède était peuplée d'une population homogène, montre que le nombre de meurtres et homicides a doublé. Récemment, le Conseil national suédois pour la prévention du crime (Brottsförebyggande de rådet, BRÅ), a dû admettre que la violence meurtrière avait en réalité augmenté en 2015, - 112 personnes tuées – soit 25 assassinats de plus que l'année précédente. Il est également apparu que la seule violence meurtrière en déclin était celle que les Suédois commettent sous l'emprise de la boisson. En revanche, les règlements de comptes de type mafieux, commis par les migrants, ont grimpé en flèche. Les progrès de la médecine en traumatologie ont également contribué à réduire l'envolée des statistiques des meurtres et homicides.
Selon un sondage 2016, 53% des Suédois pensent que l'immigration est le problème le plus important du pays. Ils n'étaient que 27% l'an dernier, Un virage spectaculaire de l'opinion publique a donc eu lieu en 2015. Un autre sondage récent a montré que 70% des Suédois jugent le flux migratoire à destination de la Suède trop élevé. Pour la quatrième année consécutive, le scepticisme sur l'ampleur de la vague migratoire a augmenté.
De plus en plus de gens s'inquiètent du risque que le nombre croissant de musulmans, tant en raison du fait migratoire que par le nombre des naissances – le taux de fécondité des femmes musulmanes est en effet, plus élevé que celui des femmes suédoises – pose à la démocratie suédoise.
Comme les statistiques sur les croyances religieuses ne sont plus tenues, nul ne sait exactement combien de musulmans vivent aujourd'hui en Suède. Un sondage réalisé en 2015, a indiqué que les Suédois croient que 17% de musulmans vivent aujourd'hui en Suède. En réalité, indique l'institut Ipsos Mori, le nombre réel de musulmans avoisinerait les 5%. Ipsos Mori n'indique pas comment il aboutit à ce chiffre, beaucoup trop faible selon toute vraisemblance. Ipsos Mori a probablement compilé le nombre des fidèles revendiqués par les différentes congrégations et organisations musulmanes. Mais l'islam est aussi une culture et la Suède est rejointe par des musulmans qui ne pratiquent pas activement leur religion tout en vivant selon des préceptes islamiques.
En 2012, le journal alternatif suédois, Dispatch international, a calculé le nombre de musulmans autorités à résider en Suède, en utilisant la base de données du registre des noms suédois. Le journal a abouti à un chiffre de 574.000 musulmans, avec une marge d'erreur de plus ou moins 20.000. Pour des raisons évidentes, les clandestins et les demandeurs d'asile n'ont pas été inclus. Le nombre réel est par conséquent, beaucoup plus élevé.
Depuis 2012, près de 300.000 personnes ont demandé l'asile en Suède. Toutes les demandes n'ont pas été approuvées, mais peu de refusés ont quitté la Suède. Le Service de l'immigration a dit au Gatestone Institute que 9.700 personnes seulement ont été reconduites à la frontière l'an dernier. La plupart des demandeurs d'asile sont musulmans, ce qui signifie que le nombre de musulmans en Suède approche désormais le million, soit 10% de la population.
Dans son livre Slavery, Terrorism and Islam : The Historical Roots and Contemporary Threat (L'esclavage, le terrorisme et l'islam : racines historiques et menace contemporaine), publié en 2005, le Dr. Peter Hammond décrit ce qui se produit quand le nombre des musulmans s'accroit. Au-delà des généralités, les phénomènes principaux sont les suivants :
- Tant qu'ils ne représentent que 1% de la population, les musulmans sont généralement perçus comme une minorité pacifique qui ne dérange personne.
- A 2-3%, quelques-uns entament des actions de prosélytisme en direction d'autres minorités ou de groupes de mécontents. Ces actions se produisent surtout en prison et parmi les gangs de rue.
- A 5%, les musulmans commencent à jouir d'une influence disproportionnée compte tenu de leur faiblesse démographique. La demande pour la viande halal s'accroit, et des pressions s'exercent pour que l'industrie agro-alimentaire propose une offre adaptée. Ils commencent à travailler la sphère politique pour exiger leur l'autonomie en vertu de la charia. Hammond écrit que le but de l'Islam n'est pas de convertir le monde, mais d'établir la charia partout dans le monde.
- Quand les musulmans représentent 10% de la population, l'histoire montre que l'anarchie augmente. Certains se plaignent de leur situation, déclenchent des émeutes, incendient les voitures, et menacent les personnes qui disent-ils, insultent l'Islam.
- A 20%, des émeutes éclatent, des milices djihadistes se forment, des gens sont assassinés tandis que les églises et les synagogues brulent.
- A 40%, les massacres se généralisent, le terrorisme devient structurel et une guerre entre milices éclate.
- A 60%, commence une persécution désinhibée des non-musulmans avec des périodes de nettoyage ethnique voire de génocide. La charia s'applique ainsi que la jizya (taxe que les infidèles doivent payer pour leur « protection »).
- A 80%, les musulmans ont pris le contrôle de l'appareil gouvernemental et, comme la Syrie, l'Afghanistan, le Pakistan ou l'Irak, engagent un cycle violent au nom de l'islam ou du pouvoir politique.
- Quand la population est totalement islamisée, la paix est censée s'instaurer dans la maison de l'l'islam, d'où l'affirmation que l'islam est une « religion de paix ».
Hammond écrit aussi que dans de nombreux pays, comme la France, la Belgique, la Grande-Bretagne et la Suède, la population musulmane vit dans des enclaves islamiques - affichant ainsi son refus de s'assimiler au sein d'une société occidentale. Ce détachement renforce la cohésion interne du groupe et lui permet d'exercer un effet de levier plus important compte tenu de son poids minoritaire au sein de la population.
Le seuil de 10% tel qu'il est décrit par Hammond correspond à la Suède. Dans les zones dites d'exclusion, des voitures brulent tous les jours, et des émeutes urbaines se produisent. De graves émeutes se sont ainsi produites à Malmö 2008 ,Göteborg 2009 , Stockholm 2013 et Norrköping et Växjö 2015. Parfois, les troubles démarrent après qu'un musulman ait été arrêté ou abattu par la police. Les dirigeants musulmans affichent immédiatement leur sympathie aux membres de leur communauté. Lors des émeutes de Husby en 2013, Rami Al-Khamisi du mouvement de jeunesse « Megafonen » a écrit : « Nous pouvons voir pourquoi les gens réagissent ainsi... ».
L'artiste Lars Vilks, qui a dessiné un chien de rond -point avec la tête de Mahomet - les Suédois fabriquent des chiens en carton ou en plâtre et les placent au milieu des carrefours - a été la cible de plusieurs tentatives d'assassinat. Il vit maintenant sous constante protection policière.
Quasiment personne en Suède n'est prêt à parler de ces problèmes. Pendant des mois, Gatestone Institute a appelé des politiciens, des fonctionnaires, des organisations et divers groupes minoritaires, pour leur demander quelle était leur perception de l'islam en Suède. Pensent-ils que l'islam est compatible avec la démocratie, la liberté d'expression et l'égalité juridique - et si oui, de quelle manière ?
Des questions qui ont suscité la colère et la peur. Certains ont dit qu'ils étaient en colère contre les questions elles-mêmes, tout en affirmant que l'islam ne pose aucun problème à la Suède. D'autres, apparemment effrayés, ont refusé de répondre. Dans l'espoir d'obtenir quelques réponses honnêtes, nous nous sommes présentés comme des Suédois ordinaires et concernés. D'innombrables personnes ont raccroché. Quand des réponses ont été obtenues, elles portaient la marque d'une ignorance abyssale de l'Islam, des conséquences de l'islamisation sur un pays donné, ou du niveau de problèmes dans lequel la Suède se situe. Le pays ne parait absolument pas préparé à ce qui l'attend.
A partir de ce jour, Gatestone et Ingrid Carlqvist ne sont plus associés d'une quelconque manière. Néanmoins, Gatestone conserve et assume tous les articles écrits pour lui par Ingrid Carlqvist.